Affichage des articles dont le libellé est chung. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est chung. Afficher tous les articles

lundi, mars 14, 2011

Amour éternel - L'amour authentique - Chapitre XXX



L'amour authentique 
XXX 
Quand elle se réveilla, Madailéin se dirigea vers la cuisine pour prendre un café fort. Elle sursauta en voyant que Chung était là, derrière elle. Il leva les yeux vers elle, et il s'approché. Madailéin figea quand elle a senti Chung la saisir par son poignet. 
- Tu veux un café? elle demande. 
- Non, je veux pas de café. S'il te plaît, regardes-moi, dit-il. Je t'en prie, regardes-moi. 
Elle s'écarta légèrement et ancra son regard dans le sien. Il se pencha sur elle et lui écrasa ses lèvres sur les siennes. Elle était tellement surprise qu'elle prit du temps à réagir. Son baiser fit son chemin à son cerveau et elle le repoussa brutalement. Il s'avança vers elle. 
- Chung, pourquoi fais-tu cela, ça te fait rire de me torturer? dit-elle avec colère. 
Elle baissa la tête et la secoua de gauche à droite. Il s'avança vers elle, puis, la prit dans ses bras. Elle le repoussa de nouveau. 
- Laisse-moi t'aimer, Madailéin. 
Il pressa ses lèvres sur les siennes. Il joua un moment avec ses bouche, puis il passa sa langue sur sa lèvre inférieure. La sensation de sa langue sur ses lèvres, lui donna une bouffée de chaleur. Il la serra plus fort contre lui. Elle caressa ses cheveux. Il grogna et elle sentit sa virilité qu'il avait à ce moment. Elle s'écarta. Il la regarda, il s'approcha d'elle se colla contre elle. Un gémissement sortit de ses lèvres. 
- Dis-le-moi, Madailéin! Dis-le-moi! dit-il. 
- Je t'aime, Chung. 
Il gémit de plaisir. Le voir si près d'elle, était si bon, qu'elle ne veut pas de l'arrêter. 
Il eut un sourire timide. 
- Quelques heures avec moi et tu ne pourras plus te passer de moi. 
- Tu es un vantard, Chung. dit-elle en souriant. 
- Peut-être, mais je t'aimerai jusqu'à ce que tu n'aies plus de force. 
Il lui fit son sourire irrésistible. 
- Tu vas voir des étoiles, mon amour. dit-il, confiant. 
Doucement, il caressa la courbe de son visage et sans rien dire, il posa un chaste baiser sur ses lèvres. Il ne voulait pas de lui faire peur, il fit des caresses à peine perceptibles, sa main tremblait. 
Elle était figée comme une statue, les yeux rivés sur lui. 
Il la prit par la main et la conduisit dans la chambre. Avant qu'elle ait pu dire un mot, il se pencha sur elle et leurs lèvres se retrouvèrent. Il l'avait tant désiré. Il craignait de ne pas pouvoir se contrôler. Il sentit qu'elle hésitait à cause de lui. Son esprit était un champ de bataille. 
Bien que cette partie de lui allait gagner la bataille, il a entendu Madailéin, chuchoter doucement son nom à son oreille. Il pouvait sentir le parfum enivrant de sa bouche.
Comme si elle avait compris ce qu'il allait faire, elle le repoussa.
- Chung, pas maintenant. dit-elle. 
Il serra ses doigts un peu plus autour de son bras. - Madailéin, laisses-moi faire. Tu me mets dans un tel état, Madailéin ... Un état qui, toi seule peut apaiser. 
Il était terrifié par la passion de ses propres mots. En temps normal, il aurait rougi, mais il commençait à perdre patience, il la serra fort contre lui et plaqua sa bouche contre la sienne, si chaude, si douce.
Il ferma les yeux, et força Madailéin à ouvrir la bouche. Elle haletait quand sa langue a rencontré la sienne. 
- Chung, que fais-tu? Pourquoi tu décides de m'embrasser comme ça? dit-elle et en tournant la tête. 
C'était électrique. Il essayait avec difficulté de se contrôler ... et elle se sentait les draps se déchirer, sous elle,  tant il avait du mal à garder le contrôle. Il la voulait, Madailéin, il la désirait tant. D'une main tremblante, il monta sa robe et toucha sa poitrine. Sa réaction ne tarda pas à attendre, elle se serra contre lui.
Il avait tellement besoin de ses étreintes, qu'il ne s'est pas aperçu lorsqu'elle lui enleva la chemise qu'il portait, elle frôla ses lèvres contre son thorax. Un bruit sourd sortit de sa gorge et il leva les yeux. 
Il avait coincé Madailéin sur le futon. Son désir était à son appogé, malgré qu'il essayait de maintenir le contrôle. Il se colla contre elle, il lui fit comprendre comment il la désirait.
Ses gestes étaient brusques et doux à la fois. Ses yeux n'étaient plus ceux de son amour, mais d'une bête sauvage.
Cette fois, il passa son bras gauche autour de son cou et sa main droite s'enfouie dans ses cheveux. Ne sachant plus quoi faire avec cette montée du désir, il se plaça entre ses jambes et il a été surpris par la chaleur intense qu'il s'y dégageait. Il sentait son pantalon trop étroit, et des images inédites, impure traversa son cerveau. 
- Madailéin, tu me rends complètement malade. dit-il. 
Elle se sentait bien et inquiète à la fois. Ce regard, qu'elle n'avait jamais vu auparavant. Cet homme qui la regarda, n'était plus son homme, mais un autre totalement différent. 
Il la prit par les cheveux et tira sa tête en arrière. Il grignota son cou, il lui semblait sentir son odeur, comme un tigre le fait avec sa proie. Il l'entourait comme un serpent. 
Son désir a grandi de façon exponentielle. Son délire a repris, et il commença à perdre le contrôle. Pris de vertige, il cacha son visage dans son cou pour se calmer.

Il mordillait sa clavicule droite, alors elle sentit son bassin contre le sien. Elle ne put retenir un gémissement, et il était souriant contre sa peau. Encouragé par les sons qui lui vienaient de sa bouche, il frotta la virilité un peu plus contre son ventre. Elle secoua la tête, essayant de rassembler toutes ses forces pour le repousser. 
- Chung, arrêtes! Ne va pas plus loin. 
Elle a mis ses paumes contre son thorax, et le poussa doucement, mais il ne fit rien. Cela lui a fallu un moment pour réaliser ce qu'elle venait de dire. Il a juré avant de se coucher à côté d'elle.
Comme elle le regardait, elle ne pouvait s'empêcher de voir son membre extrêmement tendue. Elle souffrait pour lui. Chung n'avait pas cessé de la regarder, semblant perdu dans ses pensées. Elle s'habilla, et il décida de se lever, et il s'approcha d'elle. Il la regarda droit dans les yeux. 
- Pourquoi? protesta-t-il. 
Elle posa ses yeux sur lui. 
- Non! s'écria-t-il. Tu restes ici! 
Souriante, elle enfouit son visage contre sa poitrine. 
- Chung, je suis prête à attendre encore un peu. Je ne veux pas que tu le fasses, juste pour me faire plaisir.
- Tu crois que je voulais simplement te faire plaisir? Est-ce que tu m'as regarder. Il prit sa main de force et la descendit sur son entrejambe. Tu crois qu'il s'agit d'une mise en scène. Je vais souligner que j'ai déjà... avant toi. Mais si c'est que tu le veux, Madailéin si ça peut te rendre heureuse... dit-il en poussant un soupir.
"Elle me laisse frustré comme jamais, c'est chiant!" se dit-il. 
Il ne dit rien pendant quelques minutes. Il semblait réfléchir profondément. Il se redressa et lui prit la tête entre ses mains. 
- Va-y, s'il te plaît, laisses-moi savoir maintenant je ne peux plus attendre. dit-il.
- Tu veux que je te dise quoi? elle demanda, surprise.
- C'est ma faute. Les choses ne datent pas d'aujourd'hui, et je suis conscient. dit-il.
- Non, Chung! interrompit-elle.
- Permets-moi de terminer ce que j'ai à dire. Tu as refusé de faire l'amour plusieurs fois, et tu m'as repoussé. 
- Mais Je t'aime Chung, tu le sais! dit-elle. J'adore ton côté sombre et mystérieux! dit-elle en embrassant son nez. 
- Sous ce visage, il se cache un homme capable de tuer sans hésitation. dit-il en baissant la tête... tout comme toi en fait. 
- Nous avons tous nos démons, mais cela ne signifie pas que tu es mauvais, pas avec moi. dit-elle calmement. Mais bon... bien sûr, nous ne sommes pas un couple normal à proprement dit. répliqua-t-elle avec un sourire.
- Tu es ma raison de vivre, et je ne peux même pas m'imaginer sans toi, sous peine de mourir. Tu dois me promettre quelque chose en retour, dit-il en la regardant droit dans les yeux.
- Oui, quoi? dit-elle.
- Promets-moi, que tu ne seras jamais capable d'aimer quelqu'un d'autre que moi, dit-il doucement. 
- Oui, mon amour, oui, je te le promets. dit-elle en passant son bras autour du cou. Donc, tu es un vilain garçon? dit-elle en souriant. Donc à toi de me le prouver!
- Euh! Han? dit-il surpris.
- Utilises ton petit cerveau, ce n'est pas évident, mais je vais te donner quinze minutes, le temps que ton cerveau puisse réagir.
- Qu'as-tu dit? demanda-t-il.
- Tu as compris ce que j'ai dit, dit-elle. 
Elle frotta son corps contre le sien, comme une chatte en chaleur. Elle le regarda avec une touche sauvage. 
- Est-ce que tu es assez intelligent pour improviser? demandait-elle.
- Tu vas me tuer, tu sais! dit-il en la regardant attentivement.
- Tu sais, toute cette histoire pour une journée d'abstinence, c'est incroyable.
Ses yeux étaient brillants. Elle était surprise, et était fascinée par l'intensité de son regard. Elle fronça les sourcils, essayant de se ressaisir. Elle se souvient de leur première réunion. Elle se souvient des milliers de frissons, elle sentit dans son corps, lorsque Chung avait touché sa main la première. Elle se souvient aussi, qu'elle l'avait trouvé si beau et c'est toujours vrai.
Il eut un petit rire en s'approchant d'elle. Il a mis son nez dans son cou. Elle laissa échapper un gémissement, et il la chatouillait.
Il glissa ses lèvres sur sa gorge, et il embrassa tendrement ses lèvres. Sa main se posa sur son cou. Ce baiser était douceur et de tendresse. Ce baiser, même s'il était chaste, était sensuelle. Il voulait, qu'elle ressente les sentiments qu'il avait pour elle, sans avoir à lui dire. Avec regret, elle s'éloigna et embrassa sa joue, et elle s'éloigna, encore une fois. 
Elle a retiré son bras autour de son cou, et retourna à la cuisine.
Elle entendit des pas derrière elle. Elle se retourna, il était là, le regard plus sauvage encore. 
- Je ne veux pas t'entendre dire que tu ne veux pas, dit-il froidement. Parce que je risque de le prendre très mal. 
Il la saisit par le bras. Elle devait courir pour suivre la cadence de ses pas. Il l'emmena dans la chambre violemment. 
Il ne pouvait pas s'empêcher de prendre le contrôle, comme d'habitude. Chung la jeta sur le futon, brusquement.
Ses reins étaient ai puissants, et ses yeux semblaient plus noirs qu'à l'habituel, il a grogné, elle eut presque peur. Mais la tête lui, sous les vagues de désir qui l'envahissait. Pour la première fois, il voulait voir le plaisir, dans ses yeux. Il avait envie de lui faire mal, la pincer, la mordre. Elle n'eut le temps de respirer, qu'il était déjà en elle. Il se figea en elle, et prit son menton avec ses doigts et s'approcha d'elle. 
- Je veux que tu me regardes ... Regarde-moi ou je te promets d'arrêter. dit-il avec une voix bestiale. 
Elle tourna le regard quelques instants plus tard.
- Je t'ai dit de me regarder, dit-il en lui donnant un coup de bassin violent.
- Chung! Qu'est-ce que tu as? demandait-elle. 
- Rien. 
Ses hanches vinrent rencontrer les siennes. Ses gémissements et grognements envahissaient toute la chambre. Elle serra ses épaules, lorsqu'il sentit qu'elle était prête à savourer pleinement. Il s'arrêta brusquement. 
- Que fais-ti? elle demanda avec mécontentement.
- Je ferme la porte, dit-il.
- Nous n'avons pas de porte! dit-elle en souriant.
- Je viens de créer un!
- Oh!
- C'est ennuyeux tous ces gens savent ce que nous faisons. Cet auteur n'a aucun respect pour notre vie privée.
- Hum!

À suivre ... 
_____________________


Je l'avais dit que j'allais être raisonnable. Il fallait bien que ça arrive, mais ça passe mieux avec un peu d'humour... C'est chiant. Mais bon... j'imagine qu'ils ont dû continuer après. Mais ça...

Karole McDowell 2011 - (c) La reproduction est interdite sans l'autorisation de l'auteure.

vendredi, mars 11, 2011

Undying Love, the authentic love - XXV





The authentic love

XXV


A few weeks later, Chung and Madailéin, went to a fancy restaurant which is located about thirty minutes from the nearby town. The "Red Sun" is a chic restaurant show. He walked away to spend a quiet evening with Madailéin and watch the show of a knowledge of Chung.

- The first time we met, I thought you were rough and wild. A stupid mistake, I quickly realized that you had nothing to do with these preconceived ideas. You were the exactly the opposite. I was surprised to see so much kindness incarnate in one person.
- I like what you say to me! Madailéin said.
- Madailéin! said Chung.
- Yes! she said, smiling.
- You know the other night when I went out with Sami and Mori, I was not going to play pool. he says uncomfortable. We had a c (...)
- Chung! she said by interrupting him. The most important thing is that you're here ... with me.

Chung jumped when a man gave him a slap on the back. By reflex, he wanted to grab his weapon, but he had not it. He looked up and saw that It was a man with whom he had been friend in the past.

- Hey! Chung, how you doing, man? said the man.
- Yes, not too bad. said Chung.
- Oh! I see you still not get bored! Good evening Miss, I'm Frankie. And what is the name is charming lady?
- I (...)
- My wife, Chung said, leaving no time to Madailéin to talk.
- Oh! I see, you stopped to playing playboy, that's good! You always feel better when you're set. said Frankie. Well I leave you lovers. See you later, man!
- Yeah, right! said Chung.

Chung turned to Madailéin, feeling unwell. He gave a nervous smile and dared not look at her. This idiot had made him lose face in front Madailéin, he could have hit him for that.

- Playboy?! Madailéin said, smiling. This was before or after me? she asked.
- I told you the other night, before Mai surprised us in the kitchen. I had women before, but nothing serious, it was just sex. That's why at the very beginning, when you had caught me with Zi, I told you that with her ​​it was nothing. he said through gritted teeth.
- Hum! You have deceived me? Because if you're so jealous, maybe you're afraid I could be like you! Right?
- ...
- Why you do not answer! she said calmly.
- I don't like it, when you doubt me. Chung said in fleeing his eyes. He looked like a child who had been scolded by his mother.
- Then you have deceived me or not? she asks again.
- I am not the most perfect man, but I have not deceived you and I will not do i either. You know it, right?
- I know what?

He took her hand and put it to his mouth.

- I ... I love you Madailéin. he said with a tear in the corner of the eye.
- Me too, I love you Chung. You made ​​me rediscover the love that I'm never revived after the death of Sato.
- I hope you too, you admit one day, that you love me to madness ... or that you love me more than him. Your presence is enough to make me happy.
- What do you mean more than him? Chung I love you, And I gave you my virginity.

Chung looked at the man who had been his friend. A friend, can we call him that.

Frankie took a seat at the counter. Chung could feel the weight of his gaze on him and ... on her. He imagined she was probably the same kind he had known before it. And it made ​​him nervous. He wanted to drag him out, and give him a good beating.

- I'm really sorry, my darling! But please, don't doubt me.
- Ok! she said.
- I come back, said Chung, rising.

She looked at him moving towards the toilet.

Madailéin, saw a man who stares at her, insistently. He was accompanied by two men. She felt intimidated and did not dare look at in that direction.

"He wears sunglasses indoors, it's strange!" Madailéin said.

His hair was half-long black and curly. The two men who accompanied him, wore clothes upscale. She felt uncomfortable, when one of the two men got up and walked towards her.

- Good evening Miss! My brother gives you this rose. His name is George. He is very shy, so I decided to come to him. Could I please have your name?
- Why do you want to know my name?
- George would love to meet you.
- You do not see that I was accompanied? I can not accept his proposal. Tell him I thank him for the rose.
- He will be disappointed, but I'll give him the message.

The man returned to his table, and the three men left the restaurant immediately. Madailéin looked at him men get into their car with alacrity. When she turned, she saw Chung who came to join her.

- You bought a rose! said Chung.
- No, someone has offered me.
- Who?!
- A man who was sitting at the table, right there behind you!
- You have accepted? Chung said, turning to look. What did he want? He was alone?
- Two men were with him. It is his brother who came to me.
- What's his name? He told you?
- Yes, his name is George. However, I do not know the name of the person who gave me the rose.
- It took a few minutes I'm out, they come to bother you.
- They left quickly when they saw you out of the toilet. You worry for nothing. He did not throw at me. He was very nice.

He looked at her with raised eyebrows.

- Nice? He waited I left, to come talk to you. We do not have the same definition of that word I think.
- Hum! she said, shaking his head.

Madailéin don't understood him. After a jealous rage, he became distant. She would like that he speak to her, but he is so closed, as if a man's feelings were a sign of weakness.

Chung has not had a pleasant childhood. His mother died when he was just nine years old.

At a teenager, he began to execute contracts for big bosses. Despite his young age he was very popular and his loyalty was no longer needed to be proved. 

He stopped thinking about his past and looked up to Madailéin.

He examines everything he has accomplished until this day. He would never have thought to have the chance to meet the woman who was intended for him. Madailéin. And yet ...

He was bored at times his work to the hospital, but he was well and that's what mattered. He returned, but not for now. The fact that they had to change town was turned upside down a lot of things.

At 32, he was no longer the same. He no longer saw any woman except ... her. She was not as a lifesaver, he loved her. He knows what Madailéin appreciates most about him. He remained the same and has not tried to change for her. But on the other hand, he knew she was not comfortable with people with preconceived ideas.

A couple for her, it's two people who are not forced to have a single thought. Don't feel obliged to change their personality to please the other, and then realize they have lost their identity. They forged a nature according to the other that they do not match with them. Such a person suffers from loneliness, even while being both, she said.

*****

People cheered the musicians on stage and Chung could hear the clapping, cheering as if people from outside. Madailéin had returned to enjoy the show. She moved on the sound of music and turned from time to time to give him a smile. He went out of his thoughts when he spoke Madailéin.

- Where are you Chung? You do not seem with me!
- I was thinking about how much, you know it!
- Yes, I know ... Chung, I love you too! she said, smiling.



To be continued...
_______________

http://twitter.com/Karole_McDowell
http://www.facebook.com/karole.mcdowell

Karole McDowell 2011 - (c) Reproduction is prohibited without permission from the author.