- Habilles-toi s'il te plaît. dit-il.
- Quoi! À cette heure?
- Tu ne veux quand même pas sortir à moitié nue!
- On sort?
- Tu verras, dit-il en souriant.
Ils montèrent dans la voiture et prirent la route. Elle décida de s'assoupir un peu durant le trajet…
Elle ignorait depuis combien de temps ils étaient partis, mais il ralentissait doucement, et elle sentit qu'ils s'arrêtaient.
- On est arrivé. dit-il.
Ils descendirent de la voiture, toujours avec sa galanterie, il la fit descendre de voiture.
Elle regardait partout autour d'elle… elle était vraiment très surprise, elle ne s'attendait pas du tout à ça… Il la regarda en souriant.
- Madailéin, tu vas bien? demanda-t-il.
- Oui, qu'est-ce qu'on fait ici? demande-t-elle.
Il se retourna et ils étaient devant une superbe maison.
- Chung, à qui est cette maison? demande-t-elle intriguée.
- Je vais te montrer, tu comprendras. dit-il.
Ils se dirigèrent vers la maison. Elle le vit sortir une clé, il la glissa dans la serrure et ouvrit la porte. Elle fut ébahie. Elle était encore une fois émerveillée par tout ce qu'elle voyait.
Il lui fit un regard, auquel elle ne pouvait pas résister, il la fixa de ses magnifiques yeux, son cœur s'emballa.
- Bienvenue chez nous, chérie. Il passa ses grands bras autour de sa taille.
Il la berça de droite à gauche et en déposant sa tête contre la sienne.
-Chez nous? répéta-t-elle.
-Oui! dit-il, fière de lui.
- Chung! C'est, tu as dû… dépenser une fortune! dit-elle avec de l'émotion dans la voix.
- Ne t'inquiète pas pour l'argent! dit-il.
- Je ne sais pas quoi dire… dit-elle.
Chung la regardait en souriant, il avait l'air heureux et amusé de voir sa réaction.
- Mon amour, c'est trop beau, j'adore… Je t'aime. Je peux te le dire? demanda-t-elle.
- Autant que tu veux. Tu veux visiter? demande-t-il.
Ils étaient à peine entrés qu'elle était déjà éblouie… Ils avançaient dans un petit corridor. Les murs étaient peints en jaune. Ils pénétrèrent ensuite dans ce qui devait être le salon… Des bougies décoratives bouddhas, il y avait des coffrets bougie parfumée et ainsi que des bougeoirs et porte-bougies, des brûle-parfums, et nos panneaux décoratifs en bambou. Au milieu trônait un canapé en cuir blanc décoré avec des coussins de divers coloris. Sur le sol se trouvait un tapis rouge et blanc. Chung l'amena dans la cuisine.
- Cette endroit est pour toi... Il faut bien que tu serves à quelques choses, dit-il en riant.
- Charmant, très charmant, dit-elle en lui donnant un coup de poing dans les côtes.
- Tu vas me le payer... dit-il.
- Tu peux toujours courir! répliqua Madailéin.
Elle regarda autour d'elle et elle ne bougeait pas. S'il voulait lui faire une surprise et bien elle était réussie…
- Tu ne veux pas voir le reste? demanda-t-il.
- Euh, bien sûr. répondit Madailèin.
- Tant mieux car il y a deux chambres, je te laisse choisir la tienne. dit-il sur un ton plus que sérieux.
- Mais...
Il fit son léger sourire qu'elle aimait tant.
- Tu m'as presque eu! dit-elle.
- Presque? répliqua Chung.
Ils se dirigèrent vers la chambre. Elle était super jolie… blanche et rouge. "À bas le lit et bonjour le futon!" se dit-elle. C'était joliment décoré. Elle adorait son côté sobre.
C'était le paradis…. Un endroit merveilleux, seule avec l'homme de sa vie… C'était parfait, tout était parfait.
- C'est magnifique, dit-elle.
Il l'attira contre lui.
- Alors? questionna-t-il. Qu'est-ce que tu en penses? demande-t-il.
- C'est magique… mais tu l'a vraiment acheté? répondit-elle.
- Oui, elle est à nous. dit-il en souriant.
- Elle est à toi. répliqua-t-elle.
- Non, je l'ai acheté pour nous, sans toi, il n'y a pas de nous. De plus, je devais me faire pardonner… donc... dit-il en baissant les yeux.
- Alors, continue d'être jaloux comme un tigre, et quand ce sera le temps de te faire pardonner, je ne te contredirai pas... je te le promets, mon amour... dit-elle en riant.
- Profiteuse... dit-il en haussant les sourcils.
- Crétin... répliqua-t-elle.
- Tu le sais? demanda-t-il.
- Oui, je le sais. dit-elle. Alors, nous dormons ici ce soir? demande-t-elle.
- Euh oui! répondit Chung en lui lançant un regard questionneur.
- C'est que je n'ai rien à me mettre pour dormir! dit-elle.
- Euh… oui... excuses-moi… dit-il tout gêné.
- Ce n'est pas grave je vais dormir avec ton t-shirt et en culotte. De toute façon, tu as déjà vu ma poitrine sans faire exprès... alors! dit-elle.
- Je n'avais pas osé regarder, je n'aurais jamais regarder sans que tu m'y autorises... dit-il sans la regarder.
- Chung, ne me prend pas pour une idiote! Je ne suis pas la première femme à entrer dans ta vie! dit-elle en haussant un sourcil.
- Non bien sûr, mais tu as touché mon cœur. Mes yeux se sont accrochés à toi, et aussi mon coeur. Alors mes yeux sont amour, et non pas désirs. déclara-t-il.
- Donc, je te ne plais pas? dit-elle déçue.
- Ne met pas tes mots dans ma bouche, tu as saisi ce que je voulais dire... Enfin bref, je tu le sais. Je crois que je vais prendre une douche et me coucher. dit-il.
- Euh oui! répondit Chung en lui lançant un regard questionneur.
- C'est que je n'ai rien à me mettre pour dormir! dit-elle.
- Euh… oui... excuses-moi… dit-il tout gêné.
- Ce n'est pas grave je vais dormir avec ton t-shirt et en culotte. De toute façon, tu as déjà vu ma poitrine sans faire exprès... alors! dit-elle.
- Je n'avais pas osé regarder, je n'aurais jamais regarder sans que tu m'y autorises... dit-il sans la regarder.
- Chung, ne me prend pas pour une idiote! Je ne suis pas la première femme à entrer dans ta vie! dit-elle en haussant un sourcil.
- Non bien sûr, mais tu as touché mon cœur. Mes yeux se sont accrochés à toi, et aussi mon coeur. Alors mes yeux sont amour, et non pas désirs. déclara-t-il.
- Donc, je te ne plais pas? dit-elle déçue.
- Ne met pas tes mots dans ma bouche, tu as saisi ce que je voulais dire... Enfin bref, je tu le sais. Je crois que je vais prendre une douche et me coucher. dit-il.
Il l'attire dans ses bras, l'embrasse avec passion. il retient ses mains lorsqu'elle tenta de les passer sous son t-shirt.
- Madailèin, nous avons le temps pour ça... dit-il en prenant ses poignets.
Gênée, elle baissa la tête. Il l'attira vers lui.
- Ne pense pas que je n'ai pas envie de toi. Je te désire plus que tout, mais nous avons le temps de se désirer.
"Oui bien sûr, après presque un an... c'est beaucoup trop vite!" se dit-elle. Elle était blessée qu'il ait dit non.
- Je suis désolée, répondit Madailéin.
- Ne pense pas que je n'ai pas envie de toi. Je te désire plus que tout, mais nous avons le temps de se désirer.
"Oui bien sûr, après presque un an... c'est beaucoup trop vite!" se dit-elle. Elle était blessée qu'il ait dit non.
- Je suis désolée, répondit Madailéin.
- J'ai eu très envie de te laisser faire, mais je sais qu'après, je n'aurais pas pu m'arrêter.
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