* AMOUR ÉTERNEL *
3e vie... quatrième partie - Telle était la promesse...
Il poussa une très grosse porte, il entra, tout en prenant soin de refermer la porte derrière lui.
- Réveille-toi Jimmy! L’heure est grave!
- Que se passe-t-il bon sang? Bon, mais de quoi s’agit-il alors?
- Tu sais que Mata est pour l’instant à New York, et bien devine quoi? Il est tombé sur un… Satomi… nous avons enfin retrouvé sa trace!
- Ne t’emballe pas trop vite mon ami, ce n’est pas le seul de ces bâtards que l’on retrouve.
- Mais on n’a jamais pu retrouver leurs corps malgré tout. Quoiqu’il en soit nous devons rester prudents et suivre Satomi dans ses déplacements. Si nous arrivons à se débarrasser de sa traînée, nous pourrons enfin régner en paix.
- Donne l’ordre à nos espions de la confrérie du sang de rejoindre Mata, qui leur donnera à leur arrivé ses ordres. Préviens également le également, qu’il doit faire suivre Satomi dans tous ses déplacements et ne surtout pas s’attaquer à lui, car il est notre dernière possibilité de retrouver le manuscrit.
- Mais ce n’est pas tout!
- Argh! Je n’aime décidément pas ça, quoi encore!
- Il paraitrait qu’ils se seraient réincarnés et ils seraient à New York.
- À New York? Je me dégoûte de plus en plus de représenter en réalité le symbole de la fornication et du traître.
- Je sais que nous agissons pour le bien de tous, du moins au départ tel était notre but, mais s’il redevient aussi puissant, nous pourrons dire adieu à la luxure et soif de pouvoir.
- Le sang sur nos mains, nous reviendra en plein visage. Cela fait des siècles, nous tuons et décapitons et tout ça pour préserver un secret, un secret qui nous maudira pour l’éternité. Si vraiment ils se sont réincarnés, trouvez-les et tuez-les.
- J’ai déjà envoyé deux agents du service secret à leur rencontre, et ils ont été tués.
- Vous avez envoyé des hommes sans m’en parler ? Bon, alors, c’est quoi les nouvelles?
- La femme s’appelle toujours Mairenn, Chuichi et Kido. Le mal a bien souvent pris possession de nos âmes durant les siècles passés, mais certains d’entre nous sont morts à tout jamais maintenant, et ceux qui restent tentent depuis ces dernières années à n’accomplir plus uniquement que des actes charitables afin de gagner leur rédemption.
- Nos actes sont impardonnables, cependant nous ne pouvons révéler ce secret pour perpétuer les bienfaits de notre image. Bon je me retire maintenant, je vais exécuter tes ordres.
2
Mairenn se promenait dans la parc lorsqu'un homme apparu derrière elle. Mairenn sursauta lorsque l’homme lui mit la main sur l’épaule.
- Je dois vous parler, c’est important. Je suis un ami de votre mari et de vous aussi. Mais sûrement que votre mémoire antérieure ne vous permet pas de me reconnaître. Mais là n’est pas l’important. En fait, pour commencer, mon nom est Oku. Ne m’interromps pas s’il vous plaît.
Mairenn écoutait d’une oreille attentive. Oku lui raconta tout ce qu’il savait de la promesse de Chuichi et de sa malédiction, mais surtout de cette jalousie. Mairenn ne perdait pas une miette des paroles et n’osait rien dire de peur de l’interrompre et de lui faire perde le fil de son récit mirobolant.
- Écoutez Oku, votre histoire est belle et bien romanesque, comprenez-moi, je (...)
- Je sais tout ceci peut paraître un peu gros mais c’est la stricte vérité.
- Mais expliquez-moi, je ne comprends pas tout… Mon époux, pourquoi m’aurait-il menti? Je ne comprends plus rien… Et je viens faire quoi dans tout cela? Car si vous m’avez parlé, c’est pour une bonne raison, non! Vous auriez très bien pu le faire, il y deux ans. Qu’avez-vous derrière la tête? Que voulez-vous?
- J’y viens… les gouvernements américains et britanniques ont certainement mis à vos trousses des agents, qui sont en réalité, des tueurs à gage.
- Qui sont-ils?
- Ils obéissent depuis toujours, sans jamais se poser de questions. Ils sont un peu comme des agents secrets, des hommes de main qui obéissent aux ordres qu’on leur donne. À cause d’eux, bon nombre de personnes, à travers les âges, ont péries dans d’atroces souffrances. Tous les autres qui se sont réincarnées, ont été décapitées par ces agents. Heureusement nous aussi nous avons pu causer des pertes de leur côté. Mais, pas suffisamment. Il s’agit d’une guerre que nous nous livrons voilà déjà depuis plusieurs siècles.
4
Il était près de 14h00 ce jour là, Jérémy Albert, un des descendants du sbire du est en plein travail, depuis le matin au lever du soleil. En effet il interrogeait, depuis près de cinq jours, un homme. Les britanniques sont très doués quand il s’agit de faire parler les gens. La torture était leur passe-temps préféré. Ils avaient réussi à capturer, à l’aide des agents, un autre membre de l'organsiation "Knightland"… Ó Ghallachóir. Voilà cinq jours que Ó Ghallachóir était torturé à souhait par les sbires du gouvernement britannique.
- Bon reprenons mon cher Ó Ghallachóir. Où sont caché Chuichi et sa femme? Où est Kido? Je sais que tu connais l’emplacement de sa demeure, alors dis-le-nous ou tes souffrances ne feront qu’augmenter…
- Vas-y sale chien, conte-moi tes plaies de l’esprit qui sont bien plus laides que celles de ta chair… Du moins pour l’instant… mais si tu veux, augmente mes souffrances, bourreau!
Ó Ghallachóir hurlait de douleur et avait tenu bon jusque là. mais au bout de cinq jours, malgré ses années de loyauté, il commençait à être à bout de force face à toutes ces tortures qu’on lui faisait subir. Écartèlement, étaux, tison. Tout cela était de trop et Ó Ghallachóir n’en pouvait plus.
- Très bien, très bien. Je vais parler, mais par pitié, arrêtez, je vous en supplie, arrêtez ce supplice. Je sais où est la réincarnation. Il se cache à New York, et se fait appeler Chuichi Tatsuya connu aussi comme un des co-fondateur de l'organisation "Knightland". Mais au sujet du manuscrit, de sa femme, je ne sais rien! Je vous le jure… par pitié croyez-moi!
- Tu parles du Chuichi Tatsuya? Celui qui lutte contre les lois britanniques et américains en faisant ses propres théories bidons? Nous parlons de cet homme là?
- Oui, c’est lui.
- Qui me dit que tu ne mens pas, pour gagner du temps?
- 1 Is iad na ceisteanna dá neamhéifeachtúil, agus míthreorach.
- Tu veux jouer avec moi? Pour nous assurer de ta bonne foi, je veux que l’on recommence tes tortures toutes les heures et d’ici trois jours, tu seras tué. Je répète, tu seras tué. Et ne compte pas sur ma clémence. En ce qui concerne Chuichi Tatsuya, je vais envoyer des agents à New York et ils vont s’occuper de cette traînée comme il se doit.
- 2 Beidh sé tú a sheoladh chuig ifreann má tá túteagmháil a bhean.
5
- Chuichi réveilles-toi, Chuichi. Je viens de parler avec Oku.
- Parlé avec Oku?
- Tu sais de qui je parle quand même…
- Tu es sérieuse? Il ne s'est pas réincarné...
- Ah! Il m’a dit que des agents du gouvernement viendra te chercher pour te juger.
- C'est un prétexte, vieux comme le monde et tout ça dans le seul but de nous détruire, mais ils n’y parviendront pas cette fois-ci! Je te le promets.
- Très bien je ne voudrais pas qu’il t’arrive malheur, n’oublie pas que si je t’ai épousée, ce n'est pas pour te mourir à nouveau.
6
Gordon se leva et parti rendre visite à JImmy. Il arriva devant un garde qui appela Jimmy, pour l’informer de son arrivée. Celui-ci entra et referma derrière lui, la porte à clé, de façon à ne pas être dérangé durant son entretien.
- Bonjour Jimmy, tu m’as fait demandé? Ton sommeil a-t-il été bon?
- Justement Gordon, non, il n’a pas été bon du tout... Alors dis-moi, a-t-on enfin des nouvelles de Jérémy?
- Oui, on a des nouvelles, justement… Mais la suite va te plaire, on a demandé aux agents d’éliminer le couple.
- Qui nous dit qu’une autre personne n’est pas au courant de toute cette histoire? Si les agents nous font perdre tous les indices nous permettant de terminer notre quête, nous n’aurons jamais le sommeil tranquille et nous craindrons toujours pour notre vie.
- Très bien, je vais essayer de les prévenir le plus rapidement possible. C’est toi qui règne en ce moment, donc tu as pleins pouvoirs et ton choix sera le nôtre. Espérons juste qu’il ne soit pas trop tard.
7
En se levant le lendemain matin, Mairenn et Chuichi s’aperçurent, que la porte avait été fracturée. Il saisit son épée et avança lentement, tout en tenant une main sur le pommeau, près à la sortir à tout instant. Il regarda, d’un œil discret et rapide à l’intérieur et s’aperçut que ses affaires et ses meubles étaient intacts. Écoutant d’une oreille attentive, s’il y avait du bruit. À part quelques meubles saccagés, rien ne manquait dans sa maison. Il sentit alors quelque chose de froid et humide lui tomber sur la tête. Il se frotta le front et vit du sang sur ses mains. Il leva la tête au plafond et s’aperçût, qu’une flaque de sang, qui venait de l'étage, avait transpercé le plafond. Il grimpa alors au premier étage et arrivé en haut, il vit le corps d’un homme, décapitée. C’était Kido. Chuichi tomba à genoux, les larmes aux yeux. Les agens vont maintenant tenter d'assassiner froidement sa femme. Chuichi se retourna et tomba nez à nez avec un grand homme, au teint foncé.
Chuici sortit son épée, la rage au cœur.
- Qui êtes-vous?!
- Je me nomme Baltha, fils de Nabon! Quant à toi je sais déjà que tu es Chuichi, à cause de ça, je vais tuer ta femme, j’en suis navré, mais certains actes de l’histoire doivent rester secrets à tout jamais!
- C’est toi qui va mourir aujourd’hui! Tu vas rejoindre tes bouffons! cria Chuichi fou de rage.
- Chuichi, que fais-tu avec cette épée? Nous sommes au 19e siècle, par au Vème. dit l'homme en souriant.
Chuichi attaqua alors de front son adversaire, le cœur rempli de haine et de rage. Baltha qui avait près de trente ans d’expérience dans les combats, n’avait point de mal à le contrer. Chuichi y mettait tant de haine, qu’il parvint à repousser son adversaire et à le blesser légèrement. Chuichi ne faisait preuve d’aucune technique, tant sa colère et son envie de vengeance étaient grandes. Baltha, qui ne perdait pas son sang froid, en eu vite assez des assauts désespérés de son adversaire, qu’il arrivait à esquiver sans trop de mal. Baltha décida alors de passer à l’attaque. Quelques enchaînements et enfin, il sortit l’une de ses nombreuses bottes secrètes et tenta de transpercer l’abdomen de Chuichi.
- Coucou, dit Oku.
Il transperça le cœur de l'agent et il tomba par terre, crachotant du sang, prêt à rendre l’âme. Oku leva son épée en l’air, inclinée de telle sorte qu’elle atteigne la nuque de l'homme, il l’entendit alors prononcé la phrase rituelle : Beidh sé tú a sheoladh chuig ifreann má tá tú teagmháil a bhean, quant tout à coup, quelques centièmes de seconde plus tard, sa lame s'abattit sur sa nuque.
Au bout de plusieurs minutes, Chuichi se réveilla tout en prenant une grande bouffée d’oxygène. Il se releva péniblement, s’assit sur une chaise et leva les yeux droits devant lui où se tenaient Oku et Kido, un verre à la main, en train de le siroter tranquillement avec sous leurs pieds, le corps sans vie de Baltha.
- Ah! Enfin, tu te réveilles! Ce n’est pas trop tôt. dit Kido
- Kido. Tu es vivant. Mais comment?
- J’imagine que tu as cru que cet homme sans tête était moi. En fait, il s’agissait d’un agent qui a essayé de me tuer. Enfin, il m’a tiré une balle avec son revolver, mais fort heureusement, il ne m’a qu’effleuré. Je ne sais pas combien de temps, je suis resté allongé par terre, mais en me relevant, j’ai entendu les bruits que vous faisiez. Je me suis faufilé sans aucun bruit jusqu’à lui et ni une ni deux, je l’ai décapité. Ensuite, j’ai eu l’idée de lui mettre mon peignoir et de cacher sa tête. Je me doutais bien que Baltha vienne de par lui-même vérifier si le travail avait été bien fait. Et notre bon vieil ami Oku est arrivé.
- Je te remercie d’être arrivé à temps et de m’avoir sauvé la vie, Oku. Je suis vraiment heureux de te voir en vie, Kido!
- Et moi donc. Au fait désolé de t’avoir fait croire que j’étais mort, mais si nous voulions avoir une chance de battre Baltha, il fallait que nous jouions cette petite pièce. D’ailleurs, à cause de toi et de ta mauvaise habitude d’être toujours en retard. Les agents nous ont espionnés.
Chuichi ramassa son épée.
8
Gordon traversa en coup de vent le grand hall qui sépare le bureau de Jimmy du reste du domaine.
- Mauvaise nouvelle Jimmy. Baltha… a été décapité!
- Quoi?! Comment le sais-tu?
- Je viens de recevoir un télégramme. Les autres agents viennent de me prévenir. Ils viennent de retrouver son corps sans vie, décapité, ainsi que celui d'un autre agent, dont ils n’ont pas retrouvé la tête mais qu’ils ont quand même réussi à identifier. Baltha est mort, Jimmy, Kido l’a tué, à moins que ce soit, Chuichi…
- Peu importe qui l’a tué. Maintenant il est trop tard. Nous nous sommes relâchés, nous n’étions plus assez méfiants et nous nous sommes dissipés. Ce n’est plus comme à l’époque de l’inquisition où nous étions une armée forte et puissante. Pauvre Baltha. Maintenant son âme a rejoint les profondeurs de l’enfer. Que Dieu ait pitié de lui… Kido, il va me le payer, ça tu peux en être certain.
- Tu peux te retirer maintenant.
- Un autre détail. Selon un agent, il aurait vu un autre homme dans les parages, nous connaissons pas son identité. Mais c'est peut-être lui, le meurtrier. Tu connais un certain, Oku?
- Oku?
Jimmy devint tout pâle et demanda à Gordon de quitter son bureau.
Gordon était enfermé chez lui et tournait en rond, attendant un télégramme d'un de ses agents. Voilà plus de deux heures que Gordon attendait. Plus le temps passait, plus il se rendait à l’évidence que ces derniers avaient échouée dans leur mission et qu’ils étaient probablement morts.
Gordon sentit alors une présence tout proche de lui, mais ce n’était pas Jimmy. Ce dernier était plus puissant. Il pouvait le sentir, grâce à tous les immigrants qu’ils avaient tués, au fil de toutes les générations précédentes. Il ne voyait rien dans sa pièce, et l’alarme n’avait été donnée par aucun des agents qui rôdaient autour. Gorfdon recula doucement vers les tentures des grandes fenêtre de sa chambre, afin d’y ramasser son épée, quand tout à coup, il sentit le toucher d’une lame s’abattre délicatement sur tout le long de sa gorge, faisant en même temps couler un léger filet de sang sur ses vêtements.
- C’est ça que tu cherches? Désolé, mais ta rapière me plaît bien, je vais la garder pour moi. C'est donc toi, le grand Gordon, dernier ancêtre du sbire du roi, qui vient de se faire prendre. On dirait qu’il y a eu du laisser aller durant toutes ces années. Il ne faut jamais négliger l’entraînement, tu devrais le savoir, toi qui es l'ancêtre d'un maître du meutre accompli.
- Comment as-tu fait pour arriver jusqu’à moi? Tous nos agents rôdent dans les alentours.
- Agents? Ils n'étaient qu’une vingtaine tout au plus, dit Chuichi. Je ne suis pas n'importe qui, n’oublie pas que j’ai des siécles en art de dissimulation derrière moi.
- J’imagine que tu es déjà au courant pour Baltha. Tu es le suivant sur la liste, dit Oku. Je vais te tuer et puis repartir chez moi. Après quoi, il ne restera plus que Jimmy et nous..
- Dis-moi, as-tu une dernière volonté? demanda Mairenn.
- Que fais-tu là, toi, sale pute?
- Tu as beaucoup trop de sang sur les mains pour me traiter de putain, dit Mairenn.
- Je dois recevoir ma rédemption. Je suis désolé pour toutes les persécutions que nous vous avons fait subir, dit Gordon.
- Ça n’arrangera rien, dit Chuichi. Une promesse est une promesse.
Oku lui trancha la tête. Mais Oku n’eut pas le temps de se remettre de ses émotions. Quand il se releva, il vit en face de lui, Jimmy. Il était accompagné de ses agents qui tenaient une arme à la main.
- Le secret doit être préservé et étant le dernier à savoir, je régnerai enfin en paix. Je n’aurai jamais cru que vous auriez eu la bêtise de vous rendre en Angleterre. Vous jeter dans la gueule du loup, à votre âge, c’est lamentable. Chuichi tu as perdu la raison, tout comme les autres de ta race.
- Ma race? dit Chuichi.
- Oui, ta race. Tu aurais dû te trouver une comme toi, au lieu de forniquer avec ta pute irlandaise, vous aviez défier les lois. Ça fait 700 ans que tu combats pour venger la mort de ta sale putain.
- Ça fait deux fois que tu la traites de putain et dans la même phrase, tu es foutu, dit Oku.
Chuichi se redressa et fixa Jimmy.
- Tuez-les! cria JImmy à ses agents.
Une vingtaine d'agents apparurent autour d’eux. Les agents sortirent leurs armes à feu.
Chuichi, Kido et Oku levèrent alors leur épée, qu’ils avaient toujours en main.
- Le haghaidh onóir is glóir. Théann tú ar ais nuair a tháinig tú ó! crièrent Oku et Kido dans une seule voix.
Ils transpercèrent le corps des agents.
- Vous êtes des monstres… Allez pourrir en enfer! cria Mairenn.
- Je sais, mais tel est le prix de notre règne… Vous deux, votre mort, et moi… la damnation éternelle de mon âme, dit Jimmy avec calme.
Au même moment, Jimmy reçu un télégramme. Jimmy le prit dans sa main. Quelques instants plus tard, Jimmy laissa tomber le papier et tomba à genoux.
- Mon Dieu, c’était donc vrai! Il est vivant! Chuichi, tu as toujours été la réincartion de… Tu es le vrai J... Tu ne peux pas être LUI.
Kido profitant de ce moment d’égarement, prit son épée et fonça sur lui en hurlant de toute sa haine.
- Il ne peut y en avoir qu’un.
Il lui trancha la tête d’un coup vif et brutal.
9
Un jeune homme d’une trentaine d’année, se rendit derrière le domaine de Jimmy. Un homme était assis tranquillement en train de lire un livre.
- Salut l'ami, dit l'inconnu. Tu es devenu maître du royaume à sa place. Mais maintenant les choses vont changer. Vous allez comprendre, qu’il est de retour. Voilà des siècles qu’il se cache. Il vous a trompé, vous tous… Tu les cherché sans jamais les trouver n’est-ce pas? Vous avez le sang de leurs morts sur les mains. Aujourd'hui, le royaume sera détruit. Les chevaliers sont derrière vous, ouvrez les yeux. Si tu veux te prendre la tête c'est le moment, car...
Il se tourna et vit Chuichi, Kido et Oku qui étaient debout, derrière lui. Il n'eut le temps de dire :
- Yesh....
Chuichi leva son épée et lui trancha la tête.
Telle était la promesse...
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P.S. : Traduction des phrases en irlandais :
1- Is iad na ceisteanna dá neamhéifeachtúil, agus míthreorach :
Les questions sont à la fois inefficaces et trompeuses.
2- Beidh sé tú a sheoladh chuig ifreann má tá tú teagmháil a bhean :
Il vous enverra en enfer, si vous touchez la femme
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Karole McDowell 2011 - (c) Toute reproduction est interdite sans l'autorisation de l'auteure.
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